Barbezieux-Saint-Hilaire a perdu des habitants (4 819 en 1999 contre 4 693 en 2005).
Notre ville est plus endettée que la moyenne des villes similaires.
Malgré cela, les dépenses d’équipement y sont moindres qu’ailleurs !
Pour en témoigner :
• la place du marché n’est pas réalisée ;
• le plan de stationnement au centre ville est inexistant ;
• la signalétique économique, touristique et directionnelle est toujours déficiente ;
• le parking de la mairie n’a pas vu le jour ;
• le lotissement en accession à la propriété à la Picauderie n’est encore qu’à l’étude ;
• la piste de sécurité routière n’a toujours pas trouvé son emplacement définitif ;
• les routes d’entrées de Segonzac et de Blanzac n’ont été ni « paysagées » ni « sécurisées » ;
• le label prometteur de « village étape » est resté dans les cartons ;
• les fleurs ont disparu des jardinières et des ronds-points ;
• le pôle culturel au château est demeuré une idée ;
• aucun festival du livre ni maison de l’écrivain n’ont été créés.
Pourtant, tout cela, c’était le programme pour lequel les Barbeziliens ont voté en 2001 !
Voici les premières raisons de provoquer un sursaut pour notre ville. Elles ne sont pas les seules !
L’immobilisme n’est pas irrémédiable si nous recréons une dynamique autour d’une équipe nouvelle et efficace.
Il
suffit de regarder la ville voisine de Jonzac, elle s’endormait il y a
20 ans et aujourd’hui elle est beaucoup plus attractive et performante
que Barbezieux-Saint-Hilaire.
« Je suis persuadé que l’exercice du
pouvoir use les hommes et qu’un apport de sang neuf casse la routine et
génère dynamisme et progrès » Extrait d’un tract de campagne en 2001 de
notre maire actuel..
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